Je suis Aden-Gabriel, réalisateur et directeur artistique. Depuis l’enfance, l’image est mon langage. J’écris, j’imagine, je capture des souvenirs.

Issu d’une famille d’artistes, j’ai grandi entre les arts visuels de ma mère, peintre et assistante réalisateur, et les arts sonores de mon père, ethnomusicologue et violoniste. J’ai été bercé par la création sous toutes ses formes.

En 2005, j’ai trouvé un vieil appareil photo numérique dans les affaires de mes parents. Observer, dessiner, photographier, filmer, petit à petit, j’ai appris à traduire mes pensées en images. Ma mère m’a transmis une leçon essentielle : une bonne photo naît de l’émotion et de l’interaction humaine.

Pendant des années, j’ai expérimenté sans vraiment comprendre ce que je cherchais. L’étincelle s’est allumée à mes 16 ans, lorsque j’ai pu acheter ma première caméra professionnelle après avoir travaillé pour la mairie de ma ville, réalisant les premiers supports numériques des événements culturels locaux. C’est à ce moment-là que j’ai écrit mes premiers courts-métrages et, une fois le lycée terminé, que j’ai pris la direction de Paris pour collaborer avec des artistes.

Mon premier projet était un clip musical pour mon père, un hommage à ses sonorités. Animé par une soif insatiable de connaissances, j’ai exploré sans limites, inspiré par la vision rêveuse de ma mère et la passion inébranlable de mon père. Pendant dix ans, j’ai façonné mon esthétique à travers les clips musicaux, avant de me tourner vers la publicité, où j’ai affiné mon sens de la narration visuelle et de l’impact émotionnel. 

Cherchant toujours à créer des images qui résonnent, qui racontent. Filmer un mariage a été une révélation. Capturer des instants sincères et les transformer en héritage. Ce qui n’était qu’une expérience est vite devenu une évidence.

Avec le temps, mon travail s’est étendu au cinéma, à la mode, au style de vie. Mais l’essence reste la même : raconter des histoires à travers l’image, capturer l’instant, transmettre une émotion.

Mon but n’est pas seulement de figer un moment, mais de créer des images qui traversent le temps.

Je travaille au coup de cœur et tiens à une première rencontre pour m’assurer que nos sensibilités s’accordent. Parce que plus qu’un projet, c’est une histoire que nous racontons ensemble.